Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2020

- Frédéric Veaux et Christian Rodriguez, les directeurs de la police et de la gendarmerie nationales, ont été auditionnés ce mercredi par la commission des Lois de l’Assemblée nationale.
- Ils ont fait le point sur le respect du confinement, sur la mobilisation des forces de sécurité ainsi que sur les moyens dont disposent ces dernières pour réaliser leurs missions.
- Par ailleurs, ils ont également dressé un état des lieux de la délinquance depuis le début du confinementPour la quatrième nuit consécutive, des violences urbaines ont éclaté dans l’agglomération parisienne ce mardi soir. Une situation que relativise néanmoins le directeur général de la police nationale. « Si on regarde les statistiques, on est plutôt sur un nombre inférieur par rapport à la même époque de l’année dernière et pour des faits qui, même s’ils sont condamnables, ne sont pas d’une gravité exceptionnelle », a expliqué Frédéric Veaux aux députés de la commission des lois ce mercredi. « Comparé à ce qui se passe malheureusement trop souvent et habituellement, on est sur un niveau de personnes impliquées et de gravité des faits qui est quand même assez faible », a aussi relativisé l’élu communiste de Seine-Saint-Denis, Stéphane Peu.

 Nouvel an rime, dans les zones de non-droit de plus en plus étendues, avec voitures brûlées et violences urbaines en direction notamment des pompiers et des policiers. Du nord au sud, de Strasbourg à Lyon en passant par Paris, et même par Limoges la bouseuse, la France de l’idyllique « vivre-ensemble » se montre telle qu’elle est : en flammes. C’est la technique de la terre brûlée des anciens sarrasins revisitée par leur descendance post-moderne et post-immigration.
Nouvel an rime, dans les zones de non-droit de plus en plus étendues, avec voitures brûlées et violences urbaines en direction notamment des pompiers et des policiers. Du nord au sud, de Strasbourg à Lyon en passant par Paris, et même par Limoges la bouseuse, la France de l’idyllique « vivre-ensemble » se montre telle qu’elle est : en flammes. C’est la technique de la terre brûlée des anciens sarrasins revisitée par leur descendance post-moderne et post-immigration.
